Sur la colline la plus
haute, une lumière étincelante Dispense joie et réconfort dans sa gloire toute puissante Chemins révélateurs pour ceux qui les empruntent Pour ceux-là, les mystères s’éclaircissent |
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Peu fréquentés sont ces chemins
Combien ont ressenti la douceur de la brise Qui s’en est approché, voyageur solitaire A vu de somptueux nuages à l’entour |
Une porte géante entrave ces chemins |
Avertissement : Nul ne peut s’aventurer seul,
ici |
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Certains cherchent le réconfort mais il leur
paraît loin |
Comment sauraient-ils ce qu’ils laissent échapper |
La faim, sentie au plus profond, peut être
satisfaite
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Ceux en transit ressentent la gratitude |
Le voyage est beau pour tous ceux
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--Un poème de M. Circa 1995)